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Rencontre sexe en vacance

Je suis Carole, une belle brune coquine de quarante deux ans, en quête d’aventures chaudes j’avais terriblement envie de sexe et de rencontre nouvelles cet été-là.
Mariée, maman d’une petite fille, mon mari et moi, tenons un commerce depuis plusieurs années. Depuis quelques mois, notre relation du couple, est en perdition. Huit mois déjà que nous n’avons pas fait l’amour.
Mes envies de rencontre sexe persistantes et inassouvies, je pris la décision de prendre une petite semaine de vacance. Nous habitons dans un quartier assez populaire, jonché de commerçants, parmi eux se trouvait une petite agence de voyages.
Bien décidée à partir et à m’éclater sexuellement, elle me trouva une chouette destination, en Sicile ou il faisait déjà bien chaud.
J’arrivai sur Roissy Charles de Gaulle, un peu en avance. Je profitai pour acheter quelques magazines de cul. Je laissai vagabonder mon imagination. J’étais seule et libre.
Une douce sensation de liberté m’envahissait. Je me dirigeai vers l’embarquement. Sur mon passage, certains hommes se retournaient avec envie, je me sentais belle et désirable.
Deux heures trente plus tard, j’arrivais à Palerme. Le réceptionniste de l’hôtel me remit les clefs de ma chambre qui se trouvait au dernier étage. Une vue superbe dominait la capitale.
A l'hôtel le tournage d’un film de érotique, venait de s’achever. Acteurs, réalisateurs et caméramen venaient d'y séjourner.
Je pris une douche, et m’habillai de façon sexy et provocante. Le soleil été encore chaud , je décidai d’aller prendre un bain de soleil aux bord de la piscine. J’enfilai une robe, sur ce joli maillot de bain blanc ultra sexy, qui dégageait bien ma poitrine aux courbes généreuses. et je m’installai avec un magasine, je levais les yeux, de temps en temps, un homme faisait des longueurs dans l’eau.
Loin de me douter de la suite, je me dirigeai nonchalamment vers l’ascenseur. A l’instant où les portes se refermèrent, un homme surgit et entra précipitamment: vous êtes italienne? . Non je suis française. Ah la France... Il avait un très bel accent chaud et attirant. A tout à l heure, me dit-il. A mon grand étonnement je répondis, oui avec plaisir...
Reprenant une douche, pour aller dîner ensuite, j’appliquai sur mon corps splendide et voluptueux un lait très parfumé , et terminai par un léger maquillage.
Le maitre d’hôtel m’installa à une table déjà occupée par une femme d’un certain âge. Nous discutâmes sans nous apercevoir qu’il était très tard. Rejoignant nos chambres respectives, je passai une douce nuit de sexe et de rêves érotique, repensant au bel inconnu.
J'avais décide que les premiers jours de mon, séjour, seraient de profiter du soleil et de faire l’amour avec volupté .
Sous une chaleur torride, je pris la direction du bar, l’ endroit était fort sympathique. Je sirotais un cocktail de fruits bien frais, quand derrière moi, une voix me dit: Puis-je prendre place en votre compagnie? l'homme de l’ascenseur, je me senti troublée par la beauté de cet homme. Gagnée par l’émotion, avec plaisir lui répondis-je. Enchanté, je suis Stéphane .
A ma grande surprise, il était-là depuis plus de quinze jours. Commandant dans la marine marchande, son bateau avez pris feu, nous avons visité Palerme pour le bonheur d être en sa compagnie. Mon beau chevalier de charme.
Un après-midi ou nous étions rentrés beaucoup plus tôt, je me délassais après une douche fraiche, nue sous mon peignoir de satin, étendue sur mon lit, mes pensées vers Stéphane.
Quand tout à coup, J'entendis frapper à la porte de ma chambre. Surprise des circonstances de ma tenue, Je le fis entrer.
Stéphane prit place sur le rebord du lit. Je lui proposais un rafraichissement dans le mini bar, assise sur la chaise face a lui. Mes formes féminines ondulaient sous le peignoir, laissant percevoir mes cuisses fines et galbées. Sans trop savoir comment, je me retrouvai lovée dans les bras de Stéphane. Je n avais jamais trompé mon mari. Stéphane l’avait bien compris.
Un peu surprise, mais pleine de désir et de fougue. Il ota ses vêtements, et me fit basculer en arrière sur le lit. Il dégagea mon peignoir. Sur la table se trouvait un flacon d huiles essentielles. Il en fit couler le long de mon corps, puis me caressa doucement, pas un centimètre de ma peau, ne fut exploré. Je me sentais transportée dans un tourbillon de plénitude totale.
Quoi de plus agréable et excitant, que l’union succincte de nos deux bouches qui se découvrent et de l’harmonie de nos peaux, qui me donnait une sensation de plaisir instantané.
Etourdie par le désir, Stéphane effleurait mon cou, mes seins, mes cuisses, au rythme d’une musique parfaitement maitrisée.
Il contempla pendant un moment, ma toison soyeuse et mon sexe rose et humide, avant d’y apposer un baiser délicatement.
Mains plaquées au draps, je serre et enserre Stéphane. Je le veux , je suis fébrile par le contact de nos peaux, les frissons, le désir de le sentir en moi.
Explosion simultanée et partagée, je le garde encore un peu tout en moi . Mouillée par sa liqueur, je crie de plaisir à l’apogée du plaisir, féline, sensuelle, je ferme les yeux, dans l’extase de la jouissance! Quelles belles vacances!