belle fille à la plage

Une histoire sexe

Sea sexe fun

Chers lecteurs, je vais vous raconter mon histoire, c’est une histoire très sexe… Voilà j’y suis allée très tôt dans la matinée. Vous allez vous demander à quel endroit? je vais vous expliquer :

Le soleil était déjà levé, juste ce qu’il fallait de chaleur pour me faire sentir qu’il était bien avec moi. Je suis arrivée sur cette plage, presque vide de monde, le drapeau n’était pas encore en place. Vert, orange ou rouge, peu m’importait. Cette eau et ce sable m’attiraient. De toute façon quand un vent de bonheur vous pousse vers quelque chose, le danger semble bien petit à côté. Il y avait cette sensation de fraîcheur iodée de la mer, cette senteur de vacance qu’on voudrait avoir dès qu’on descend d’un avion. Je me sentais vraiment bien. Je marchais sur le sable qui sous chacun de mes pas, se fissurait. Je regardais la mer qui était bien calme. Je voyageais déjà dans un autre monde beau, sensuel et attirant.

Mes envies sexe

Marcher, mais pour aller où ? Chercher le bon endroit pour profiter au mieux de ce paysage qui s’offrait à moi. La montagne se battait avec l’océan, ni l’un ni l’autre ne gagnait. Ils creusaient une falaise entre eux-deux, remplie de cailloux. Deux forces de la nature qui se rencontraient. Pour la femme que je suis, j’étais éblouie par ce spectacle. Je ne suis plus rien, je me sens petite, moi la petite qui peut en profiter totalement. Je m’allongeais sur le sable. J’avais envie de lâcher prise. Je fermais les yeux pour oublier et ne plus penser à rien. J’entendais le chant des vagues. L’eau qui se fracassait sur les quelques rochers.

Je laissais alors mon imagination voyager au grès des bruits qui se portaient à mes sens. Je faisais mon film de cinéma, celui qui me convenait le mieux. Peut être qu’à un moment j’ai ouvert les yeux. Mais après tout pourquoi fermer les yeux, pourquoi ne pas regarder, pourquoi ne pas apprécier.

Apprécier quoi ? Ce couple très sexe, qui allongé sur le sable ne cessait de s’enlacer. Fallait t’il regarder ? Oui j’ai regardé. Pendant cinq minutes, ils se sont donnés plus de baisers que j’en ai eu pendant ces derniers cinq mois. Comment se fait t-il qu’un homme puisse avoir tant de tendresse, tant d’amour pour une femme, mais qu’il faille attendre encore pour les baisers ? J’en ai à donner. J’en ai à prendre beaucoup et ce n’est certainement jamais suffisant. Je détournais mon regard pour penser à autre chose. Mais quand l’envie, le désir est présent, plus rien ne peut le remplacer.

Pourtant tout autour, la plage s’est remplie doucement. J’entends les gens parler. Je vois les uns et les autres qui se font des projections d’eau. Ils rient, courent, sautent, creusent, et moi qui attends là calmement.

Ceux là ne peuvent lire en moi, ne peuvent voir le bonheur qui s’y cache. J’ai envie dans ces moments là de l’extérioriser, que moi aussi je suis heureuse, heureuse d’avoir un homme tel que toi dans ma vie. Mais toutes me prendraient certainement pour une dingue, car elles ne savent voir qu’avec leurs yeux, et elles ne te verront pas. Pourtant tu es là, tu es tout pour moi. Je sais très bien ce que j’attends. Quand je le réalise vraiment, je me sens à nouveau bien. Je sais que mon bonheur à moi, dans cette situation, est mis un peu en attente. Je me demandais un instant si un film a été tourné sur cette plage ? Non bien sur, évidement que non, ça se saurait. Mais c’est une plage pour aimer, car je vois des gens s’y aimer. C’est une plage pour moi, car je sais aimer!

Je me dis alors que j’emmènerai celui que j’aime à cet endroit. Je l’embrasserai tant que je voudrais. Je le prendrai dans mes bras sans m’en lasser. Je cesserai de regarder ce paysage pour ne regarder que lui. Ce paysage qui m’éblouissait ce fut un temps, deviendrait bien fade face à sa personnalité. Le mélange des deux m’apporterait alors un bonheur complet.

Je pensais à tout ça moi sur cette plage. Oui car pour le raconter faut peut être l’avoir vécu. J’ai appris la patience, mais je ne veux pas apprendre ce qu’est l’infini. L’infini c’est l’océan qui s’offrait là devant mes yeux. L’infini c’est quant on dit qu’il y en a encore et encore.

Alors j’étais là, allongée sur ce sable, les yeux ouverts, et je me disais que cet océan est beau et puissant à la foi est comme mes sentiments pour toi : Infini ! Je ne pourrai jamais tout dire, tout faire pour te le montrer. Tu pourras sans doute n’en voir que les contours. Le reste est à ressentir quand tu t’approcheras de moi, ton sexe plein de désir  comme cette senteur de vent frais lorsqu’on s’approche d’une plage. Je pourrai alors enfin voir tes yeux étoilés, tes yeux mouillés de pluie ou d’un trop plein de bonheur, mais voir tes yeux un point c’est tout. Mon bonheur sera alors définitif.

 

 

Laisser un commentaire